Je ne plais pas à tout le monde, je déplais à tant de monde.
Première situation
Sur la plage ensoleillé coquillages et crustacés, alors que je m'appretais à me baigner deux superbes naïades s'installent à côté de moi. Echange de regards puis et d'un minimum de savoir vivre. A mon retour de baignade je retrouve plus mes lunettes de soleil. Jen suis un peu exaspéré d'être tant bordélique. Elles m'observent avec indifférence et décide d'aller papoter les pieds dans l'eau. Je ne leur ai pas plu ni déplu je les ai laissées indifférentes.
Seconde situation
Eugénie a marqué mon esprit. Malgré 2 gros rateaux durant les dernières semaines je lui renvoie des SMS. Elle m'a répondu avec une inoncence comme si tout était encore possible. Effectivement comme jamais 2 sans 3, un nouveau rateau est toujours d'actualité dans les prochains jours. Je crois que si la loose en drague était un sport olympique alors je donnerai à mon pays une belle médaille à Pékin.
Eugénie est tout ce que je suis pas. Elle a une joie de vivre qui me donne envie d'aller de l'avant et une réussite dans ce qu'elle fait. Pourtant elle avait au départ les même difficulté que moi dans la vie . Elle prie car elle croit un peu et ne se pose pas de questions qui la paralyse. J'aime cette fraicheur de concevoir son existance sans se prendre la tête. Je me sens trop différents de ce qu'elle attend d'un homme pour elle pour réussir une aventure avec elle. Je trouve absurde d'espérer quelque chose. C'est presque comme espérer qu'un politicien tienne ses engagement
Troisième situation:
Lieu de travail Bruno n'est pas là. Vrai Fausse Nunuche fait une remarque sur certaines habitudes que j'ai au bureau. Puis elle s'appercoit que sur coup là elle s'est trompée. J'en ai marre je ne supporte pas cette ambiance où je m'en prends plein la gueule. Je lui explicite donc qu'elle raconte des conneries à mon égard en la traitant de « langue de pute ». Je prends des habitudes dans mon travail similaires à celles de Bruno en ignorant les bienfait appaisant de la langue de bois. Elle se plaint du terme que j'ai employé. elle n'aime pas le mot pute. elle reste quelques instants à son bureau à ronchoner toute seule puis va voir le directeur dans son bureau. quelques minutes plus tard elle ressort puis celui-ci me convoque par téléphone. Dans son bureau il m'explique que la langue francaise est sufissament riche pour que j'évite ce genre de terme. c'est vrai que langue de vipère aurait été plus approprié. Si je l'avais traité de sycophante, ou de concièrge de l'époque de Vichy elle n'aurait pas compris ... Je suis sortis du bureau avec un grand sourrire. En rentrant chez moi je sais pas pourqoi mais je jubilais après cet événement. Même maintenant j'ai du mal à comprendre cette joie d'avoir mis à nerf Vrai Fausse Nunuche. Je déplais souvent mais parfois ça fait du bien de déplaire.